Le blog de Albert CALLIS

Vous reconnaissez tous Felix Bayo qui devait déformer ses poches par les incalculables quantités de noyaux qu'il gagnait.

Il était habile à tous les jeux !

"A midi maman fait des brochettes ! " "Ouais, super !!!!"

Il faut s'entraider, se défendre, lutter contre ces monstruosités que l'on vous fait avaler et ne pas avoir peur de ceux qui se "fouttent" de nous en long en large et et en travers !

J'ai acheté des brochettes de boeuf pour étraîner mon nouveau barbecue électrique. Je me préparais à déguster un vrai repas d'été. Sympa quoi !

Je ne vous dirai pas le nom du  commerçant qui vend ces saloperies, à son insu la plupart du temps. Mais je le lui ai fait savoir, il n'en vendra plus. Ce sont des barquettes à couvercle transparent avec 4 brochette avec du gras et des lamelles de poivron vert.

Attirante, le barquette vous propose en gros écrit noir sur jaune "Régalez-vous les amis"

Je ne vous donnerai pas le nom qui figure en haut, car ce nom je le respecte  et que ceux qui le portent n'ont certainement jamais goûté leurs propres brochettes. Je pense logiquement qu'on utilise leur nom. Donc je laisse de côté le nom cet ex-sportif qui était célèbre par son comportement viril et non brutal.

Mon premier travail a été après cuisson de couper ce boeuf déjà présenté en sortes de petits cubes. La scie à métaux aurait-due être offerte dès l'achat, mais pas grave, j'en avais une à la maison. Je vais maintenant la laisser avec les ustensiles de cuisine. On ne sait jamais, à mon âge on oublie vite où on l'a rangée. Mais je vais la faire aiguiser par Nicolau. Prudence, attention aux doigts,  plus dur que ce beuf tu meurs ! J'ai pensé être tombé sur les cornes.

Le gras nommé barde de porc semble être d'origine. Par contre je n'ai rien mangé de plus dégueu...que ce poivron vert. Une impression de gélatine m'a laissé penser que je ne l'avais pas assez cuit. Puis à l'écrasement dans la bouche j'ai pensé qu'il avait été détérioré par une éventuelle congélaton où un trop longue conservation réfrigérateur.

Plein d'inquiétude et de doutes j'ai décidé de lire l'étiquette. Je vous en laisse la surprise ! Ce n'est pas du poivron normal, c'est du poivron reconstitué ! Voilà pourquoi il avait le gout à rien. Pauvres de nous, quelle catastrophe ! 

Enfin, soyons bons joueurs, faisons des brochettes classiques catalanes et envoyons-en un échantillon à Castelnaudary !

Berk !