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20 août 2014 3 20 /08 /août /2014 01:14

 

 

http://www.dailymotion.com/video/x1qwmyq_georges-brassens-supplique-pour-etre-enterre-sur-une-plage-de-sete_music

 

La mort de l’indigent

Triste histoire que celle que je vais vous conter.

J’étais ce jour-là l’adjoint d’astreinte du week-end. Il faut savoir qu’on téléphone à l’adjoint de garde pour toutes sortes de problèmes dont deux sont redoutables : les décès et les internements d’office.

C’est ici d’un décès dont il sera question.

Le service des pompes funèbres m’informe donc qu’il y a eu un décès à la Maison St Joseph qui héberge des personnes en difficulté momentanée, mais pas du type SDF, des familles dans le besoin, des femmes avec enfants dont le papa est incarcéré, des paumés de passage qu’il faut aider provisoirement dans leur réinsertion.

Le défunt est âge de 45 ans, il était cardiaque et son décès a été brutal. Médecin et pompiers n’ont rien pu faire.

Comme d’habitude, la Maison en question fait appel aux services spécialisés qui résident à Port-Vendres pour se débarrasser du corps encombrant. L’employé des pompes funèbres me contacte plus tard par téléphone et nous nous rencontrons. Il me donne le certificat de décès signé du médecin, et un imprimé qu’il a rempli lui-même.

Il y est écrit que le défunt est indigent, qu’il a été transporté à la chambre mortuaire, et que suite aux recherches, il n’a pas de famille. Par conséquent, les pompes funèbres décident de leur propre initiative que c’est à la mairie de prendre en charge les obsèques et d’inhumer ce monsieur dans une fosse du cimetière. Ce sera fait dans deux jours. La date est même fixée.

Jusque là, ça pourrait aller. Sauf que dans l’après midi un autre adjoint qui est passé à la maison St Joseph car il s’en occupe, André Centène pour ne pas le nommer, me signale par téléphone que le défunt a reçu des lettres d’un enfant, avec des desseins accompagnés d’un émouvant « bisous papa »

Nous en déduisons qu’il a une famille, et nous devons alors la retrouver.

Dans un premier temps nous téléphonons aux Pompes funèbres !

Comment ont-ils décidé que ce monsieur n’avait pas de famille ?

Ils sont confus, et ils prétendent qu’ils n’ont pas trouvé les papiers d’identité. Ils vont alors à la chambre funéraire, fouillent les poches du pantalon du mort et découvrent une adresse, un N° de téléphone.

Les personnes que nous avons au bout du fil, à l’autre bout de la France, nous confirment que le défunt a trois enfants dont deux partis avec leur maman, que le troisième est bien là, que nous avons en ligne le frère et la belle sœur du soi-disant indigent, que ce sont des gens respectables et ayant des responsabilités importantes. Le défunt avait tout quitté mais était resté en contact téléphonique avec eux.

Rendez-vous compte ! Nous avons failli ensevelir un pseudo-indigent avec ses papiers d’identité dans sa poche, sans informer sa famille !

Le fait d’être logé dans une maison d’accueil vous classe dans les misérables sans famille, à caser dans un coin du cimetière aux frais de la mairie. Lamentable histoire, mais histoire vraie.

Hélas !

Un bon conseil, ne gardez pas votre carte d’identité dans la poche du pantalon. Tenez-là entre vos dents chaque fois que vous allez au lit. Ce sera plus prudent !

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11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 19:26

 

 

 

 

Copie-de-croquis-port_0--1-.JPEG

 

 

Dis maman, pourquoi le quai fait-il des zigzags ?

Arrête de poser des questions idiotes !

Demande à tonton Jacques, il t'expliquera !


"Avant le commencement des travaux, nous  avions construit (les marins du Laboratoire Arago), un ponton en bois d'une quarantaine de mètres situé à la même place que le quai de la première partie des travaux.
               D'après les informations de l'époque, le financement du départ avait prévu un port un peu plus grand ; mais en cours de travaux, la profondeur progressive nécessitait plus de matériaux que prévu ; à 
cela une tempête d'Est avait occasionné la perte d'un dépôt de ciment et 
des dommages au matériel de l'Entreprise, notamment à la grue qui s'était couchée dans la mer,  devant le Laboratoire Arago.
    La décision de réduire la surface du port fut adoptée, et à la 
reprise des travaux (notés comme deuxième partie), le quai s'orientait 
vers l'Ouest
    Le Laboratoire Arago fut avisé  que suite à ces modifications, ses 
bateaux ne pourraient plus avoir la garantie d'un emplacement. Le 
Directeur de l'époque entreprit des démarches et obtint de l'Université 
de Paris une subvention importante. C'est ce que je note comme étant la 
troisième partie, bien que les travaux n'aient jamais été réellement 
interrompus pour des raisons financières. Cette troisième partie fut 
donc orientée un peu plus vers l'Est.
    La suite des travaux se poursuivit sans autre évènement financier 
"marquant". Le port terminé, il fut attribué officiellement au 
Laboratoire Arago une longueur du quai" Lacaze Duthiers", définie en 
nombre de mètres, qui permettait l'amarrage permanent des bateaux, à 
l'époque : "Prof. Lacaze Duthiers", "Néreis", "Rufi" et le grand zodiac. 
Ce fut M. CARPE, Capitaine du port et moi-même qui, à l'époque,  
document officiel en mains, avons mesuré et marqué à la peinture rouge 
la longueur du quai qui fut attribuée au Labo.
Je te joins un petit croquis.
Ceci est une anecdote, mais je pense qu'il doit y en avoir bien d'autres;
Bien amicalement"
Jacques

 

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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 09:08

 

 

 

On s'offusque du comportement de certains parents qui veulent accompagner leurs filles lors des compétitions sportives. Cela paraît inadmissible. On s'offusque du fait que certains pays sont opposés à la proximité des athlètes des deux sexes dans les camps olympiques. Même certaines religions sont impliquées dans ces interdictions. C'est abusif et inadmissible mais....il y a quand même eu des abus dans les années 1950 / 1960. 

Voilà ce que j'écrivais en 1997 :

 

Copie-de-img861-copie-1.jpgCopie--2--de-img861.jpg

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30 juillet 2012 1 30 /07 /juillet /2012 19:34

 

Moi ça m'a rendu malade, complètement malade !

 

 

Copie-de-img860.jpgCopie--2--de-img860.jpg

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28 juillet 2012 6 28 /07 /juillet /2012 19:57

 

 

 

 

 

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27 juillet 2012 5 27 /07 /juillet /2012 21:37

Terrible ! Ce mot qui fait peur a été analysé.

Voici quelques élucubrations médicales sur le suicide.

Copie-de-img851.jpg


Copie (2) de img851

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22 juillet 2012 7 22 /07 /juillet /2012 09:28

Texte extrait (et modifié partiellement) d'un Larousse Médical probablement publié avant 1914

 

Il n'est pas possible de rapporter tous les renseignements que les médecins du début du siècle dernier pouvaient retirer de l'analyse des odeurs. Mais nous en avons extrait l'essentiel pour vous montrer combien il fallait être observateur pour être médecin en ce temps-là. Il est vrai que les examens complémentaires, et notamment les analyses sanguines et urinaires, étaient pratiquement inexistantes. Nous nous excusons d'avance sur certaines parties du texte qui pourraient être considérées maintenant comme racistes. De tels propos étaient naturels en cette époque où le colonialisme était parfaitement admis en Europe. C'était évidemment moins naturel pour ceux qui en subissaient les dramatiques conséquences. Par respect pour eux nous avons modifié certains motsen les actualisant. L'important reste l'idée du texte, et non le détail.

Odeurs de la peau.

La peau de chaque individu, par suite de ses secrétions, notamment des sécrétions sébacées (glandes de la peau), exhale une odeur particulière sensible non seulement pour l'odorat des chiens, mais pour les personnes chez lesquelles le sens est bien aiguisé, comme les Indiens, les noirs, qui ont du reste eux-mêmes une odeur plus intense. Ceux qui prétendent avoir un bon odorat soutiennent et prouvent qu'ils peuvent les yeux bandés reconnaître à l'odeur les personnes d'une société sans les toucher. Les individus d'une même famille auraient un parfum analogue. Les nourrissons répandent une odeur aigrelette de beurre fort, plus intense pour ceux au biberon, le lait de vache contenant davantage de beurre. Après la puberté, les garçons exhalent une odeur peu prononcée de bouc due à la résorption de la liqueur séminale. La peau des hommes et des femmes, mais surtout celle des (censuré, propos raciste), des femmes rousses et grasses, puis des brunes, au moment où les sueurs sont abondantes, a une odeur soufrée. Dans la vieillesse, l'odeur devient celle des feuilles sèches….
Les régions génitales ont une odeur caractéristique (on dit sui generis) qui s'exalte chez les femmes au moment des époques (règles) Les surexcitations nerveuses, les accès de colère, accroissent l'odeur de la peau, alors que les dépressions morales la diminuent.
L'ingestion des substances très odorantes, oignon, ail, angélique, térébenthine, musc , soufre, phosphore, iode, donne à la peau une odeur analogue à cette substance ou tout à fait modifiée. La peau de l'alcoolique décèle ses habitudes ; il en est de même pour les enfants au régime quotidien de l'huile de foie de morue.
Il est plus difficile d'expliquer pourquoi le vagabond répand une odeur de hanneton….
L'odeur très désagréable de gruyère rance qui s'exhale de certains pieds, particulièrement chez les roux, les châtains, est due à la décomposition des acides gras, favorisée par l'absence d'écartement des orteils accolés les uns contre les autres (rôle néfaste des chaussures pointues)

Odeurs des malades.

La sueur des aliénés, des paralytiques et des déments a des émanations spéciales, pénétrantes et infectes, rappelant celles des mains continuellement fermées. Elles sont tenaces et résistent à tous les soins de propreté. L'odeur des selles des fous est épouvantable !
Hystériques : odeur de d'ananas, de cannelle, de musc, de vanille ou d'iris.
Choréiques (danse de Saint Guy) : odeur de pin.
Léthargiques : odeur de cadavre (d'où les enterrements prématurés !)
Goutteux : odeur de petit lait.
Maladies du foie : odeur de musc.
Maladies de la vessie : odeur urineuse.
Diabétiques : odeur de foin et d'acétone.
Dilatés de l'estomac : odeur de pain aigre.
Constipés et paralysie intestinale : odeur de matières fécales.
Typhoïde : odeur de sang et de souris. Les selles ont une odeur ammoniacale.
Rhumatisants : odeur aigrelette.
Amaigris par la famine : odeur putride.
Rubéole : odeur de plumes d'oie récemment arrachées.
Scarlatine : odeur de pain cuit.
Variole : odeur de bête fauve.
Erysipèle : odeur de colle de pâte moisie.
Teigne : odeur d'urine de chat.
Maladies nasales : odeur de marécage, de viande pourrie, de punaise écrasée.

C'est avec surprise que nous trouvons dans le texte, à la fin du chapitre des odeurs chez les malades, l'explication de l'expression " odeur de sainteté " Ainsi Sainte Thérèse répandait une odeur agréable parce qu'elle était malade. L'odeur de violette de Sainte Catherine était due au fait qu'elle absorbait de la térébenthine qui donne ce parfum.

Quelques odeurs d'urines.

Albumine dans les urines : odeur de bouillon de veau, de bouillon aigre, de benjoin.
Cristaux d'acide oxalique : odeur de mignonnette (chicorée sauvage)
Diabète : odeur de pomme, de violette, de foin coupé, d'alcool.
Selon la nutrition : odeurs d'ail, de violette, de jacinthe, de géranium, d'urine de chat.

Quelques odeurs de l'haleine.

Odeur aigre chez ceux qui ont des difficultés de digestion, chez les constipés, les femmes au moment des règles.
Odeur de cadavre dans certaines maladies de la bouche.
Odeur fétide et nauséeuse des angines, des amygdalites, de certaines caries dentaires et de certaines fièvres.
Odeur d'acétone chez les diabétiques, d'ammoniaque dans les maladies urinaires.
Odeur fade et de sang dans la tuberculose.
Odeur de plâtre récemment gâché dans la gangrène pulmonaire.
Odeurs variées selon l'alimentation et les médicaments (ail, chloral, eucalyptus, térébenthine, jasmin, œuf pourri, iodoforme)
Les renvois et les vomissements ont souvent l'odeur des aliments à digestion difficile (choucroute, radis, tomate crue) ou une odeur aigre par acidification des substances grasses ou des substances sucrées.

Quelques odeurs extérieures.

Odeurs de certaines fleurs : peuvent provoquer des maux de tête, des vertiges, des éblouissements, une certaine griserie, des nausées avec évanouissement et troubles semblables à l'hystérie. Certaines odeurs florales peuvent provoquer un enrouement chez les chanteurs, surtout quand les fleurs sont échauffées par le soleil dans un lieu clos.
Les mêmes inconvénients sont provoqués par les odeurs d'huiles provenant de ces fleurs et par d'autres odeurs désagréables (insectes, graisses, huiles, corne, pétrole, éther, térébenthine, odeurs de tannerie) Certaines odeurs peuvent déclencher des crises d'asthme.
Odeurs des navires : il semble que les diverses odeurs qui s'exhalent des navires peuvent provoquer le mal de mer, qui déclenche à son tour des vomissements dont les odeurs augmentent considérablement le malaise.

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20 juillet 2012 5 20 /07 /juillet /2012 14:00

 

 

 

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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 19:57

Avis aux lecteurs. Je m'excuse mais j'ai écrit cet article en 1996 et depuis j'ai déménagé et égaré les documents que je proposais. De plus l'Association Genista a été dissoute au décès de Guy Schaffner fondateur, directeur, président et ami.

 

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16 juillet 2012 1 16 /07 /juillet /2012 09:52

 

 

 

       Conseils d'hygiène aux soldats avant 1914.

 

 
 D'après les travaux du docteur Ramally dans " hygiène individuelle  du soldat " (Marcel Fortin, éditeur) retrouvés dans le Larousse  Médical.

 Avant et au moment de l'incorporation.-

 Si avant l'incorporation une maladie ou un accident a modifié  l'aptitude physique et rend susceptible de réforme, faire une  déclaration au brigadier de gendarmerie et envoyer par son  intermédiaire une demande de comparution devant la commission  spéciale de réforme, en joignant un certificat médical.

 Au moment de l'incorporation, en cas de maladie, présenter les  certificats du médecin traitant au médecin major et, le cas  échéant, demander à être examiné isolément.

 Hygiène.-

 En ce qui concerne la propreté, suivre les prescriptions indiquées  à l'article PEAU (hygiène) (*)avec d'autant plus de soin que  l'exercice entraîne l'apport des poussières (lavage fréquent  général y compris le cuir chevelu avec de l'eau et du savon,  brossage des dents au savon blanc, particulièrement le soir pour  débarrasser la bouche des poussières et des débris alimentaires,  lavages répétés des mains et toujours avant les repas, lavage  des régions génitales) Ne pas employer les objets de toilette ni le  képi des autres.

 Alimentation.-

 Manger lentement, bien mâcher. Ne pas employer le verre, la  cuiller d'autrui. Se défier des eaux mauvaises, ne boire que de  l'eau portant l'inscription " bonne à boire ", en emporter dans le  bidon, ne pas boire l'eau des rivières, des marais, des puits à  proximité desquels se trouve du fumier.

 Vêtement.-

 Lorsque vous serez conduit au magasin pour y recevoir vos  vêtements, choisir un képi plus large que la tête, n'accepter de  veste, tunique, capote que si on y est complètement à l'aise, si  l'encolure en est dégagée. Il faut que l'air puisse circuler sous vos  vêtements, et cela d'autant plus que vous serez souvent bridé par  de nombreuses courroies. Se munir avant l'arrivée au corps d'un  gilet de laine, de chaussettes, de mouchoirs de supplément et  laver ou faire laver à mesure le linge non blanchi par le régiment.

 Porter tout le temps la ceinture de flanelle sur la peau. Les  chaussures devront être de 2 centimètres plus longues que les  pieds et suffisamment larges pour permettre aux orteils de  s'étaler librement et ne pas brider le cou-de-pied.

 Nettoyer les chaussures à l'intérieur avec un chiffon de temps à  autre pour en enlever la poussière et les résidus de transpiration.  Ne pas emprunter celles d'un camarade.

 A la chambrée.-

 Laisser les fenêtres ouvertes pour changer l'air corrompu par la  respiration d'un grand nombre de personnes. Brosser ses habits  en dehors de la pièce. Ne pas boire à même la cruche et veiller à  ce qu'elle soit munie de son couvercle. Changer de vêtements si  on est en sueur ou mouillé par la pluie au retour de l'exercice.

 En manœuvre.-

 Pendant les haltes, ne pas se coucher à plat ventre sur le sol qui  est plus chaud que l'air ambiant ; à l'ombre non plus, pour éviter  le refroidissement du ventre. S'asseoir sur le revers de la route.  Boire à petites gorgées, à intervalles éloignés ; entre temps se  gargariser la bouche et se frictionner la figure avec un mouchoir  imbibé d'eau.

 A l'étape.-

 Le meilleur désaltérant est une infusion chaude (café, thé, tilleul)  Employer la nuit à se reposer et non à rôder dans le village. Se  laver les pieds après chaque marche et coucher toujours pieds  nus.

 (*) Note : Le même Larousse Médical propose une page entière  de conseils pour laver la peau, matin et soir, dans une chambre  bien aérée, avec de l'eau froide et un gant de crin, savonnage  sérieux, brosse et pierre ponce à l'eau chaude pour les mains,  cure ongles pour terminer. Pas d'eau trop calcaire pour le visage  et le cou, savon neutre ou un peu alcalin, nettoyage sérieux des  intervalles entre les orteils avec eau froide sans savon mais avec  un peu d'alun, de tanin ou d'alcool. Les organes génitaux doivent  être nettoyés minutieusement chaque jour chez les deux sexes.

 A aucun moment il n'est question de douches ni de bains, mais de  " tub ", récipient en zinc ou en caoutchouc qui avait la forme d'un  grand plat (de type cuisson de paella pour de nombreuses  personnes) On y pratiquait des ablutions en restant debout et en  répandant sur les épaules le contenu d'un pot à eau.

 

 Question : "De quoi sont les pieds d'un fantassin ?"
 Réponse : "Les pieds d'un fantassin sont l'objet de soins  attentifs"

 

 

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  • : Souvenirs d'enfance à Banyuls sur mer entre 1934 et 1954. Pensionnat au Lycée Arago de Perpignan
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